Maîtrise



Bibliographie * Documents (textes) * Documents (graphiques)
Maîtrise d'histoire. Monographies du canton de Vic-en-Bigorre
 
SAINT-LEZER
 

Code INSEE 65325390
Canton de Vic-en-Bigorre
Carte IGN 1744 ouest de Vic et 1745 ouest de Tarbes
Document 9-1 à 9-9

 Le village de Saint Lézer se trouve à l’ouest du canton. Son territoire communal est limité au nord par le territoire de Vic-Bigorre, à l’est par les territoires de Vic-Bigorre et Pujo, au sud par le territoire de Talazac et à l’ouest par les territoire de Sanous et Casteide-Doat ( Pyrénées Atlanti- ques ).
  Le village se trouve sur un éperon collinaire, à l’ouest de ce territoire. Le reste du territoire communal comprend une zone de vallée ( petite vallée du Barmale et la partie est de la vallée de l’Echez ) et un éperon collinaire plus au sud ( quartier du Peyruquet ).
La zone de vallée est constituée d’un substrat argilo-siliceux, alors que les coteaux sont formés d’un substrat argilo-calcaire.

 Le principal cours d’eau est l’Echez, qui constitue sur une partie de son cours la limite est de la commune. Un deuxième cours d’eau est le canal du moulin, canal artificiel dérivé de l’Echez, qui passe à l’est du village au pied de la colline ( un moulin y subsiste, datable du XVIIIème siècle, mais un moulin fonctionnait déjà en 1402, voir note 20). Le ruisseau du Barmale, qui vient du sud, se jette dans ce canal. On peut également signaler le ruisseau du Bergons, qui coule au pied de la colline du village à l’ouest. La partie de vallée de ce village est consacrée à la culture du maïs, alors que les coteaux sont réservés aux habitations et à des bois, principalement.

Le réseau de chemins

 Nous distinguons deux voies qui peuvent avoir une origine antique. La première voie est un chemin de crête qui part de la fortification antique, se dirigeant vers le sud en direction de la fortification protohistorique dite castet crabé à Lagarde. La deuxième voie est un chemin qui suit approximativement le cours de l’Echez à l’est du territoire communal. Cette voie de plaine orientée nord-sud se poursuit sur plusieurs kilomètres ( vers Siarrouy au sud, vers Larreule au nord ) en étant indifférente aux villages. Nous pensons que cette voie pourrait correspondre à un élément du réseau de voirie antique, à mettre en rapport avec le cadastre de Saint Lézer qui semble conserver des éléments de cadastration réguliers d’origine peut-être antique ( voir sur le document 9-1 bis les chemins qui partent régulièrement dans le sens est-ouest de ce chemin ).

On remarque plusieurs voies qui servent aujourd’hui à relier le village aux villages voisins: la D7, au sud, rejoint le village de Talazac. Cette voie a été rectifiée récemment. Au nord du village, cette voie rejoint le village de Vic-Bigorre.  La D 63 part du village pour se diriger au sud vers le village de Montaner ( au pied de la colline ). Un autre chemin qui lui est parallèle part lui par la petite vallée du Barmale en direction de Tarasteix. La D61 enfin passe au nord et à l’est du territoire communal en contournant le village.
 

Le village

 Le village se regroupe en deux « noyaux », au pied et au sommet d’un éperon collinaire. Un premier « noyau » regroupe quelques habitations autour de l’actuelle église paroissiale, au sommet de l’éperon ( quartier du Castet bieilh ). Un deuxième « noyau », le plus important, se constitue de maisons modernes ( XVIIIème-XIXème siècle ) rassemblées autour du carrefour ou patte d’oie formé par la D63 et la D7. Ces deux noyaux que nous avons défini n’ont pas de structure définie actuellement, les maisons sont simplement disposées le long des voies de communication.
La documentation pour cette commune nous permet de traiter l’histoire de ce village dans un ordre chronologique.

Période préromaine

 Roland Coquerel, lors de ses sondages dans tout le village, à trouvé de nombreux tessons de l’âge du bronze et des deux âges du fer ( voir annexe et note 1 ) et quelques haches polies ( document   9-2 ). On nous a également signalé une grosse meule à grain ou broyeur ( longue pierre schisteuse polie d’environ un mètre de long ) d’origine néolithique probable, qui a été trouvée lors de la démolition d’une maison dans la zone inférieure du village.
Roland Coquerel a émis l’hypothèse que l’éperon de la colline ( castet bieilh ) aurait été fortifié de l’âge du bronze   ( de type éperon barré ? Les traces d’un fossé en grande partie comblé barrant le pied de la fortification antique viendraient étayer cette hypothèse. Voir note 2  ).

Période gallo-romaine

 Il est difficile de préciser à quel moment exact ont eu lieu les premiers contacts entre les romains et les indigènes ( commerciaux et de colonisation ). Les éléments archéologiques attestent cependant qu’au début de notre ère Saint-Lézer a été une cité importante installée sur l’emplacement du site protohistorique, au sommet de l’éperon. En effet cet éperon est entouré des vestiges d’une enceinte antique qui délimite une surface d’environ 250 mètres par 100 mètres (3) très riche en matériel antique (4).

 Cette muraille mesure actuellement 5-6 mètres de haut dans les parties les mieux conservées, pour environ un mètre d’épaisseur, et est construite en blocage avec un parement en opus reticulatum avec des lits de brique régulièrement disposés. Il subsiste également des éléments de tours, dont un certain nombre devait compléter le système défensif (5). Des traces de reprises en opus incertum et galets sont également visibles, traces d’une utilisation tardive, voire médiévale.

Antiquité tardive et haut moyen-âge

 C’est au début du Vème siècle qu’apparaît le premier document mentionnant ce village. La Notice des Provinces mentionne en effet une civitas turba ubi castrum bigorra (6).
Ce fragment de phrase peu explicite a connu de nombreuses interprétations: l’hypothèse la plus généralement retenue est que l’expression castrum bigorra désignerait le site de Saint Lézer, qui est le seul site antique bigourdan avec une muraille de protection antique (7). Grégoire de Tours, au VIème siècle, signale dans son ouvrage De gloria confessorum un lieu infra autem Beorretanae urbis... (7).  Nicolas Bertrandi, au XVIème siècle, écrit dans sa Geste des toulousains que «  Les danois s’emparent du château de Tarbes, puis ils se dirigent [...] vers la ville Orre ou Orraise, appelée aujourd’hui Bigorre, détruisant sur leur passage villages, bourgs et villes. Averti de leur approche, l’évêque Géraud, qui occupait alors le siège épiscopal de cette ville, se retire vers le château fort de Foronilium. Et comme le monastère n’était pas éloigné des remparts de la ville épiscopale de plus d’un jet de pierre, les moines se dispersent pour n’être pas enveloppés dans les ruines de la cité. » (8).
 On peut tirer de ces derniers textes qu’il existe une urbs appelée Bigorra ou Orra au VIème siècle, et si l’on retient le texte de Bertrandi - dont on ne connaît pas les sources - on peut retenir qu’il existait à Bigorra au Xème siècle des remparts ( les remparts antiques probablement ), et que cette cité abritait le siège épiscopal et un monastère extra muros.

 Autre indice archéologique, on a retrouvé à Saint Lézer au siècle dernier deux tiers de sous d’or      ( triens ) frappés au VIème ou VIIème siècle par un monétaire nommée Taurecus dans un lieu Bigorra (9).

Le moyen-âge

 Roland Coquerel le premier a déterminé qu’une zone restreinte de la ville antique avait été utilisée au moyen-âge pour abriter l’habitat médiéval, sous la protection d’une motte castrale ( note 2, et document 9-4 et 9-5 ).
Ce site d’occupation médiévale, de forme irrégulière (environ un hectare de surface ) et délimité par des fossés, est probablement mentionné dans l ’acte de donation de l’abbaye en 1064: cet acte est rédigé en effet in ipso bigorrensi castro (17). La ville elle-même est signalée comme civitas dans un texte de 1026 (16).
L’enquête de 1300 nous apprend que Item, villa de Sancti Licerii est prioris de Sancto Licerio Cluniacensis ordinis (10). En 1313, de même, dictus locus tenetur a domino priore dicti loci de sancto licerio (11). En 1402 le village nous est signalé par un dénombrement (20). En 1480 est signalé dans un acte de vente le locus de sancto Licerio (12). 
 

L’église paroissiale

Cette église est signalée dans les pouillés de 1342 et de 1379 dans l’archiprêtré de Montaner (13). Cette église disparue est peut-être la « chapelle de tuco » mentionnée dans un document de 1750, qui devait se trouver dans la zone d’occupation médiévale près de la motte (15 ). En effet à cette époque l’église paroissiale était un bâtiment construit en 1621 ( dans l’actuel cimetière ), qui fut lui-même désaffecté vers 1845 ( voir document 9-4 et 9-5 ). A partir de cette date c’est l’église conventuelle qui devint paroissiale ( voir ci-dessous ).

Le tuco du castet bieilh

 Le tuco est une grosse motte castrale d’une dizaine de mètres de hauteur, installée sur l’emplacement de la muraille antique au sud de la zone ( en position de barrage ). Cette motte a été dessinée la première fois sur le cadastre napoléonien ( document 9-6 ). On peut encore voir à son sommet des fragments de murs en galets et mortiers, vestiges probables d’une tour. Cette motte est signalée indirectement en 1521, lors de la fondation d’une prébende;  à cette occasion est donnée une maison « scituée (sic) au lieu de saint Lézer appelé Castet-Vieilh » (14). En 1750 on trouve une mention : «  la chapelle de tuco est dotée de 32 journaux de terre » (15).

Cette motte est placée en position de barrage de l’éperon, et est en même temps accolée à l ’emplacement probable du village médiéval plus à l’est.

L’abbaye Saint Lézer

 Elle est signalée pour la première fois dans un texte de 1026, si on exclut les références perdues de Bertrandi (16): Monasterium Sancti Licerii ad Aturum fluvium in suburbio civitatis bigorritanae, anno 30 regni Robertis regis seu christi 1026 aut 1027 adhuc hababat abbatem nomine Richardum. Ce texte remarquable nous apprend l’existence d’un monastère de Saint Lézer dans les faubourgs de la ville de Bigorra, près du fleuve Adour, et dont l’abbé s’appelle Richard.
 Cette abbaye est ensuite signalée en 1064 par un acte qui a été conservé (17); cet acte est la donation du monastère de Bigorra à l’abbaye de Lézat ( ordre de Cluny ). Ce texte nous apprend que le monastère constructum est in honore beati Felici, martyris, et beati Licerii, confessoris et episcopi. Une légende locale raconte en effet que Saint Lézer ( le Saint Lizier ariégeois ) serait mort ici au Vème siècle, et que ses reliques vénérées auraient entraîné la création du monastère (18).
A partir de ce moment (1064) le monastère devint un prieuré clunisien.
En 1154, dans l’acte de fondation d’une chapelle à l’hôpital de Morlaas, est témoin un Arnaldus, monachus de Sancto Licerio (19). Un texte de 1402 conservé dans les Glanages de Larcher nous apprend les possessions du prieuré dans les villages voisins, ainsi que les nombreuses reliques abritées dans la crypte de l’église abbatiale (20). Deux autres visites en 1541 et 1612 nous permettent de voir l’évolution de cet important patrimoine foncier et seigneurial (21). Un dernier dénombrement de 1750 permet de constater que la plupart de ces richesses ont été vendues, principalement suite aux Guerres de Religion où le prieuré fut incendié (22).
 Le prieuré fut rebâti au XVIIIème siècle ( son état actuel ), et ses parties médiévales furent démolies par Bertrand Barrère de Vieuzac en 1793-1794 pour en vendre les matériaux (23). L’église du prieuré sert aujourd’hui d’église paroissiale.

 Les éléments archéologiques viennent heureusement compléter cet ensemble remarquable de documents. Roland Coquerel a effectué une série de sondages il y a une vingtaine d’années qui permettent de se faire une idée du prieuré médiéval (24).
 Les plans qui ont été publiés, de lecture difficile, permettent cependant de voir que plusieurs édifices religieux se sont succédés au même endroit, jusqu’à l’actuelle église prieurale ( document 9-7 ). Le fouilleur a reconnu un ou plusieurs niveaux romans, avec une crypte probable sous l’abside, bâtiments très remaniés au bas moyen-âge, avec un curieux édifice qualifié de martyrium, et que l’on peut supposer avoir servi à présenter des reliques, comme le laissent supposer les niches creusées dans les murs de cette structure (25). Au XIVème siècle une tour-clocher fut construite, et on réalisa des murs de soutènements pour stabiliser le sol (26). C’est au XVIIIème siècle que ce bâtiment fut détruit au profit de l’actuelle église bâtie immédiatement à l’ouest de ce bâtiment médiéval disparu (27).

Le territoire communal

La motte de la barthe ( document 9-9 )

 Le quartier de la Barthe se trouve au sud du territoire communal, au croisement de la D7 partant au sud vers Talazac et d’un chemin partant à l’est vers Pujo. A côté de ce croisement est construite une motte tronconique entourée d’un large fossé. La motte possède une plate-forme d’un diamètre d’environ 25 mètres, et un fossé de 8 mètres de large environ; La motte dépasse à peine le niveau du sol environnant ( environ deux mètres ): ici on a vraiment l’impression que la terre de creusement du fossé a servi à exhausser faiblement la motte.
Le territoire de la Barthe est peut-être à reconnaître dans un territoire nommé fromentas à l’époque moderne: «  est ung journal de terre pret et boy de bernata près de un terroyre de Saint Lézer aultrement appellé Fromentas »  (28)

 La toponymie est riche en noms rappelant l’état du sol et des cultures: la peyruque ( carrière de pierre ), la barthe, garrabet ( de garrabé, l’églantier ), la séguette ( de seguet, petite haie ), figuère ( le figuier ). Le Paris, nom d’un bois à l’ouest de la commune, est problématique: ce nom à consonance moderne est attesté au XVIIIème siècle, un arpentage avec plan de cette zone est même effectué en 1726 (29).

 Il convient de mettre à part également le toponyme sausseignan près de l’Echez, d’origine probablement gallo-latine. Plusieurs trouvailles de céramiques antiques ont été anciennement signalées dans cette zone.
 
 

Essai de synthèse

 Le site de Saint-Lézer est exceptionnel à plusieurs titres, tant par ses vestiges que par sa documentation. Ce site a probablement été occupé pendant la protohistoire, peut-être sous la forme d’un éperon barré. Une cité antique s’est implantée à cet endroit, entourée d’un imposant rempart dès le IIème ou IIIème siècle. Pendant le haut-moyen-âge ( on ne sait pas quand ) la cité s’est « contractée » sur un espace réduit, protégée par une motte et un système de fossés, ainsi que probablement une partie de l’enceinte antique remise en état. La question se pose évidemment de l’antériorité de la « plate-forme d’habitat médiéval » sur la motte.
Un autre problème qui se pose est celui de l’abbaye: son existence semble remonter très haut dans le temps, au moins au Xème siècle, et son emplacement hors les murs semble assez surprenant: y avait-il un manque de place dans l’enceinte restreinte ? Plus certainement, l’abbaye s’est-elle implantée à l’emplacement -réel ou supposé- de la tombe de Saint Lézer, dans un cimetière haut-médiéval ? ces questions, ainsi que la chronologie des différents édifices de culte, mériteraient d’être approfondies.

 Une question majeure qui se pose est celle du devenir de l’habitat proprement dit: Saint Lézer-Bigorra a semble-t-il été une capitale locale au moins jusqu’au Xème ou XIème siècle: or, c’est justement à cette époque que semblent s’implanter le siège épiscopal et le siège comtal à Tarbes, formant les deux noyaux de la Tarbes moderne: faut-il voir le « déclin » de saint Lézer dans un transfert des pouvoirs vers une nouvelle capitale ? L’hypothèse est séduisante, mais ne s’appuie sur aucun document certain. On constate en tout cas que le prieuré possède la totalité du village en 1300, et le conserve jusqu’à la Révolution. La motte castrale, pourtant élément important du village, n’est jamais mentionnée directement: a-t-elle été abandonnée très tôt     ( motte comtale abandonnée au prieuré ? ). La même question se pose pour la motte de La Barthe, qui semble avoir un rôle dans le contrôle de la D7, mais qui n’est mentionnée nulle part.

 En définitive, c’est dans la reprise de fouilles organisées et cohérentes que des réponses pourront être apportées au pourquoi et au comment de ce site unique.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Notes:

(1) Roland Coquerel, Recherches sur l’église conventuelle de Saint Lézer, Société Ramond, p.8
(2) Roland Coquerel, De Bigorra à Saint Lézer, Tarbes 1990, pp.25-28
(3) Idem, pp.31-38. Voir aussi Cardaillac-Rosapelly, Le castrum Bigorra, Tarbes 1902, p.12, et Roland Coquerel, communication à la SAHP du 2/05/53. Plusieurs plans ont été publiés de cette enceinte: voir les document 9-3 à 9-5.
(4) On a trouvé des tessons, des monnaies...Voir Coquerel, op.cit note 2, et Georges Depeyrot, Les monnaies antiques..., p.44
(5) Coquerel a traité de ce sujet ( notes 1 et 2 ). Il a trouvé un fragment de tour semi-circulaire, ainsi qu’une «  pile funéraire » en brique à l’est de la muraille qu’on interprète aujourd’hui comme l’arrachemet d’une tour.  L’étude du site est trop incomplète encore  pour pouvoir préciser l’image de cette fortification qui devait être très remarquable.
(6) Voir Larcher, Glanages, T.VI p.5
(7) Voir Cardaillac, Rosapelly, RHP 1909, p.65-78, et Coquerel, De Bigorra à saint Lézer, p.12. Le seul exemple équivalent dans la région est la muraille de Saint Bertrand de Comminges. L’urbis Beorretanae serait en fait à transcrire urbis Bigorrae, comme essaient de le démontrer ces auteurs.
(8) Traduction de Louis Deville, Etude historique sur Tarbes, BSAHP 1859, p.154
(9) Edouard Peyrauzet, Le monétaire Taurecus, BSSLA 4ème série T.VIII, Pau 1972, p.79-93. Ces deux monnaies rarissimes ont aujourd’hui au cabinet des médailles à Paris.
(10) Enquête de 1300, op. cit., p.63
(11) DRN de 1313, ADHP 1MI2
(12) Larcher, idem, T.VII, p.134
(13 ) Perrin, Font-Reaulx, op. cit., pouillé de 1342 p.465: ecclesia de sancto Licerio; idem, compte de procuration de 1379: ecclesia de Sancto Licerio pro integra procuratione. De quibus tenetur solvere capellanus dicti loci. Bonus. Procurationes 12 s. 6 d.
(14) ADHP I396, No 16806
(15) Larcher, idem, T.XXI, p.168
(16) Gallia Christiana, T.I, col.1241; Cité par A. Durdos, RHP 1917, p.161-166
(17) Larcher II, 304. L’original existe également aux ADHP série I
(18) Roland Coquerel, BSR 1974, p.41
(19) Larcher, ibid., T.XIV p.228
(20) ibidem, T.IV, p.115-131. dans le seul canton deVic le prieuré possède des droits, des terres et des maisons dans les villages de Vic, Artagnan, Saubagnac, Camalès, Baliron, Andrest, Trougnan, Sillac, Ganos et Pujo.
(21) ibidem, T.IV pp.140-145 et T.XXI pp.135-139
(22) ibidem, T. XXI p.161 et suivantes. Voir aussi Coquerel, De Bigorra à Saint Lézer, op. cit., pp.63-73
(23) idem, chapitre X p.157
(24) Roland Coquerel, recherche sur l’église conventuelle de saint Lézer, société Ramond, 36 p.
(25) idem, pp.1-3. La liste des reliques est connue pour 1402 ( voir ci-dessus ).
(26) ibid., p.3-4
(27) ibid., p.4
(28) ADHP H270 Acte de 1595.Vente par Jean de saint Pastous à Domengue de Saint Pastous d’un journal de terre. Ce journal « est chargé envers le couvent dudit lieu d’un fief de 3 jacquès ».
(29)ADHP I396, plan No 16776

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Dernière modification : 18/11/01,08:24:17